L’IRIS Notes Executive 2 est un petit équipement qui permet de numériser rapidement des prises de notes, grâce à un stylo digital, un logiciel et un capteur numérique. J’ai testé ce produit ces derniers jours et j’ai été étonné par la précision du stylo de cette solution.
L’IRIS Notes Executive 2 permet plusieurs choses. Tout d’abord d’enregistrer des notes manuscrites au format numérique, puis aussi de prendre le contrôle de la souris d’un ordinateur afin d’écrire en direct sur l’écran, et enfin d’effectuer ces opérations sur iPhone ou iPad.
Pour numériser des notes manuscrites, il suffit d’accrocher le capteur en haut d’une feuille de papier, de le mettre en marche, puis d’écrire normalement sur la feuille à l’aide du stylo digital. Celui-ci permet d’écrire comme n’importe quel stylo bille, grâce à des tiges métalliques interchangeables (soit une bille, soit une pointe en métal).
Le capteur enregistre jusqu’à 100 feuilles, puis permet via un câble USB et un logiciel dédié de récupérer ces notes sur ordinateur.
Le deuxième mode d’utilisation permet de prendre le contrôle de la souris d’un ordinateur. Avec la tige métallique spéciale, le capteur numérique et le logiciel IRISNotes, il est possible de rédiger des notes directement sur l’ordinateur.
Enfin, le troisième mode permet d’effectuer ces opérations sur iPhone ou sur iPad. Soit pour rapatrier des notes directement sur ces périphériques, soit pour prendre des notes directement sur ceux-ci. Cela est bien pratique pour rédiger rapidement sur tablette par exemple, de façon plus précise qu’avec le doigt.
Dernière particularité intéressante, le logiciel IRISNotes sait convertir les notes manuscrites en notes numériques.
L’IRIS Notes Executive 2 est une solution très intéressante pour ceux qui ont ce genre de besoin, il coûte 149 euros et peut être trouvé sur Internet ou en boutique spécialisées dans la vente de produits électroniques.
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Cette technologie existe depuis plusieurs années mais là il faut reconnaitre que le stylo est plutôt fin est à un aspect de stylo… J’en réclamerais bien un à mon patron
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